5 repas énergétiques qui aident à lutter contre la plupart des cancers

Cuisine Ail %C%ufs Farine Lait  - christelleboninn / Pixabay

Commençons par maintenir une alimentation saine de vrais aliments, en particulier ceux qui ont été scientifiquement confirmés pour aider à lutter contre la plupart des cancers. Vous en trouverez six ci-dessous.

1. Les graines de lin aident à lutter contre la plupart des cancers

Réduisez la plupart des cancers de la prostate avec les graines de lin. Des études d’analyse ont prouvé que les graines peuvent graduellement l’expansion de la prostate la plupart des cellules cancéreuses
La survie au cancer du sein était importante dans trois recherches qui ont adopté des milliers de femmes identifiées avec la plupart des cancers du sein. Ils ont découvert: «Les graines joueraient peut-être un rôle nécessaire dans la réduction de la mortalité toutes causes et spécifiques au cancer. les malades ont opéré la plupart des cancers du sein. »

2. Les tomates réduisent la menace de la plupart des cancers

La menace de la plupart des cancers du sein pourrait également être diminuée avec les tomates en raison de leurs quantités excessives de caroténoïdes (alpha-carotène, bêta-carotène, lutéine, lycopène et caroténoïdes complets).
Il a été découvert que la menace de la plupart des cancers de la prostate était diminuée dans une étude montrant que les hommes qui mangeaient plus de 10 parties de tomates ou de tomates par semaine réduisaient leur menace de cancer de la prostate de la plupart des cancers de 18% par rapport aux hommes qui en mangeaient moins de 10.
Il est clair que la preuve actuelle favorise la consommation de tomates et de produits à base de tomates modérément par rapport aux compléments alimentaires en lycopène, comme indiqué dans les journaux d’Oxford.

3. Les avocats aident à lutter contre la plupart des cellules cancéreuses

Le glutathion présent dans les avocats a été découvert pour aider à arrêter certaines sortes de cancers. Des chercheurs  ont découvert que les vitamines contenues dans les avocats tuent ou cessent l’expansion des cellules précancéreuses qui entraînent la plupart des cancers oraux.
L’extrait d’avocat a été découvert pour inhiber le cancer de la prostate.
D’après une étude, des molécules dans les avocats attaquent directement les cellules souches de la leucémie tout en laissant les cellules saines indemnes.

4. L’ail combat la plupart des cancers

La menace de la plupart des cancers du poumon a diminué dans une recherche avec ceux qui mangeaient de l’ail non cuit deux fois ou plus par semaine, sur la base d’une recherche révélée dans la revue Cancer. Les chercheurs ont également découvert que même les personnes qui fument et qui mangent de l’ail non cuit réduisent leur risque de cancer du poumon d’environ 30%.
L’ail, en tant que légume, a été présent dans une étude pour se prémunir contre les cancers de l’abdomen et du côlon.
«Dans les tubes de contrôle, l’ail semble tuer la plupart des cellules cancéreuses. Et les recherches recommandent que les personnes qui consomment plus d’ail cru ou cuit sont beaucoup moins susceptibles de développer des cancers du côlon et de l’abdomen et la plupart des cancers de l’œsophage.

5. Légumes (haricots et lentilles) Réduction de la plupart des cancers Menace

La menace de la plupart des cancers de la prostate s’est avérée être une diminution dans une étude de six ans portant sur plus de 14000 hommes résidant aux États-Unis.Ceux avec la meilleure consommation de légumineuses (haricots, lentilles ou pois cassés) avaient une menace considérablement réduite de la plupart des cancers de la prostate. .
On a découvert que les légumineuses réduisent la menace pour la plupart des cancers du côlon. Les scientifiques ont examiné 14 recherches avec 1 903 459 membres et ont constaté que ceux qui consommaient le plus de légumineuses, en particulier le soja, présentaient la menace la plus basse pour la plupart des cancers du côlon.
La menace de la plupart des cancers du pancréas a été réduite lorsque les légumineuses ont été consommées plus de deux fois par semaine par rapport à celles qui en mangeaient presque jamais ou moins que chaque semaine, selon une étude.

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