😷 Les masques portés contre la COVID-19 contiennent des substances toxiques et sont inefficaces

Le port du masque est brandi comme une protection indispensable pour lutter contre les vagues épidémiques de COVID-19, au point qu’il est devenu obligatoire au plus fort de la pandémie. Et pourtant, de nombreuses voix s’élèvent pour dénoncer, outre l’inconfort et la relative inefficacité, des risques pour la santé d’un usage continuel. Voici quelques pistes, sérieuses, pour y voir plus clair.

Au plus fort de la pandémie de COVID-19, en France, les masques ont été rendus obligatoires au travail, dans l’ensemble des lieux clos publics et même dans de nombreux centres-villes. Censés nous protéger contre le SARS-CoV-2, une analyse plus poussée montre leurs limites. Pire, ils présenteraient des risques pour la santé du porteur : gêne respiratoire, développement de micro-organismes, sur-exposition au CO2, aux COV, présence de graphène…

La transmission du coronavirus SARS-CoV-2 s’effectue principalement par voie aérienne lorsqu’une particule en suspension dans l’air, chargée du virus pénètrent dans les voies respiratoires d’une personne. Une personne contagieuse va expulser – via la respiration, la conversation, les éternuements, la toux – des particules de deux types : des aérosols (diamètre < 1 μm) et des gouttelettes (diamètre ≥ 5 μm – 10 μm) qui peuvent contenir le virus.

Notre simple respiration émet 10 à 100 particules par litre d’air expiré – avec une majorité de particules de diamètre inférieur à 1 μm. Au repos on expire environ 8 litres/minute soit 80 à 800 particules d’un diamètre majoritairement de 0,8 μm.
Dès qu’on se met à parler, on peut émettre jusqu’à 5 000 particules par minute.

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